Sur le tableau " ÉPILOGUE" figure le fin tracé d'un rectangle dessiné au crayon vert pâle.
Cette forme géométrique agit comme une fenêtre , un passage.
Cette ouverture mène à un au-delà transcendantal.
Le tableau dans sa version définitive en 2013 était accompagnée d'un petit tableau intitulé SUMMUM.
SUMMUM était la réponse et la suite à "ÉPILOGUE": l'ouverture sur un devenir.
L'homme( et ou ses reliques) est devenu homme ressuscité dans une dimension apaisée.
Il est reconstruit. Ses facultés et ses dons sont alors multipliés.
Est-ce la naissance du surhomme cher à Nietzsche où bien celle d'un Super héro?
La réponse n'est pas donné implicitement . Et le fond quadrillé évoque un monde virtuel.
Le tableau joue sur l’ambiguïté et le temps qui passe....en trois couches:
l'homme dans la lumière diffuse du fond, le fond quadrillé et le cadre doré.
Trois états, trois temps, trois évolutions
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